Le président du Sénat, l’hon. Modeste Bahati Lukwebo, a remis, mardi 01 juin, à l’administration et cabinets de son institution un lot important de matériels informatiques dans le but d’améliorer les conditions et la qualité des services.
C’est une promesse de campagne tenue. Celle de mettre les agents et cadres de l’administration du Sénat tout comme des cabinets politiques dans de bonnes conditions de travail afin d’accroître leur productivité. Le bureau du Sénat avec à sa tête Modeste Bahati Lukwebo est passé à l’action en remettant à l’administration et aux cabinets politiques, hier mardi 1er juin, des matériels informatiques. Le lot comprend, entre autres, des ordinateurs de bureau, des onduleurs, des imprimantes, anti-virus et autres consommables.
La remise symbolique a été faite auprès du secrétaire général pour le compte de l’administration et au directeur de cabinet du président du Sénat pour le compte du personnel politique.
Profitant de cette occasion, le président du Sénat a prêté son oreille au personnel administratif de son institution. Des échanges francs, à l’image d’un véritable dialogue social, ont rythmé ce rendez-vous pourtant improvisé.
Dans une ambiance détendue dans la salle des conférences internationales du Palais du peuple, (salle qui abrite les plénières du Sénat), chaque administratif qui a sollicité la parole l’a obtenue. Le président Bahati était bien là pour écouter et répondre sans ambages aux préoccupations soulevées. Un exercice qui n’est fréquent, selon le chef de division du bureau d’études Pierre Kanga. Il y a plus de 20 ans qu’un président du Sénat s’est ouvert à un tel échange direct, témoigne-t-il.
Le président du Sénat qui a noté ligne après ligne, les doléances du personnel de son institution, promet de s’investir avec l’ensemble du bureau, pour répondre. Les intéressés sont donc appelés à couler sous forme de mémo, leurs désidératas.
Dans la foulée, l’utile a été liée à l’agréable. C’est autour d’un cocktail que la cérémonie s’est clôturée. Bahati a fait une promesse ferme, celle d’instaurer un dialogue social permanent entre l’actuel bureau et l’administration.
FK/LP