La population du Lualaba constate avec regret et étonnement que l’entourage de Mme le vice-gouverneur, Fifi MASUKA SAINI, pendant son intérim s’adonne impunément à vilipender son titulaire, en reconstitution de santé à Kinshasa et à manquer de la considération vis-à-vis d’autres membres du cabinet. C’est le cas d’un certain John NTOKA, recruté comme assistant il y a peu, et qui ferait l’office de Directeur de cabinet de l’autorité ad intérim. D’aucuns se posent la question de savoir au profit de qui fait-il le pantin ?
Au moment où le chef de l’exécutif provincial du Lualaba, le Gouverneur Richard MUYEJ MANGEZE MANS est en repos de reconstitution à Kinshasa depuis son retour au pays, on assiste malheureusement à une agitation injustifiée d’une poignée d’individus sans carrure ni profil pour justifier à la fois leur perversité et l’utilisation des espèces sonnantes et trébuchantes reçues à cette effet pour s’attaquer au Gouverneur Richard MUYEJ et à certains de ses proches collaborateurs.
Versant dans les balivernes avec le culot que l’on reconnait aux espèces de pareil acabit, John NTOKA, on ne sait piqué par quelle mouche, considère le gouverneur Richard MUYEJ de « gouverneur sortant ». Est-ce par ignorance ou zèle exagéré ? Comme il travaille aux côtés de Mme Fifi Masuka, tous les cerveaux réfléchis ont vite déduit que le gouverneur ad intérim est donc le gouverneur entrant selon les hérésies et monstruosités débitées par John NTOKA. Cela a été dit autrement par un trouvère dans les médias locaux à Kolwezi, cet autre semi-lettré qui se passe pour un journaliste dans un français à peu près a dit : « Le chef de l’Etat a dit, madame de rentre travailler. Il n’a pas dit au pluriel ». Une connerie qui n’a de la valeur qu’aux yeux de la personne qui commandite ces actes d’idiotie.
Saisie d’effroi depuis le retour du patron de la province, et surtout de la position non nuageuse de l’IGF après confrontation, ce qui a coupé court avec l’intox répandue par aversion et par nuisance, par la horde de régnants passagers qui trouvent des mots qui dénotent de la haine pour tenter de décourager la population qui attend impatiemment leur icône, leur chef.
Curieusement, tout le monde constate que ces provocations calomnieuses et bobards que distillent les acolytes du vice-gouverneur n’ont jamais été condamnés par « maman catholique ». Pas même par le speaker de l’Assemblée Provinciale, lui qui pourtant a tapé du poing sur la table pour fustiger les dérapages de la jeunesse sur les réseaux sociaux vis-à-vis des autorités provinciales. La conspiration du silence n’est-il pas bien établi ? A l’étonnement de tous, au moment où les appels à l’entente, à la réconciliation et à la convivialité se multiplient de part et d’autre en vue de continuer l’œuvre de développement commencée, des matadors sont montés pour la sale besogne, celle de faire un matraquage médiatique et la propension du mensonge. L’objectif est double : d’une part, amener à tout prix la population à croire à leur imposture afin de désavouer le gouverneur. D’autre part, enquiquiner les autorités centrales, les énerver et les pousser à prendre une décision irréparable. Heureusement, le magistrat suprême, à l’exemple du roi Salomon, a su trancher l’affaire en refusant que les institutions en province ne soient déstabilisées pour de futilités. Ceci rappelle pour les chrétiens la parabole de deux femmes qui se disputaient un bébé. A chacun d’en tirer la conclusion
D’une manière irréfléchie, tous ces quidams qui disent travailler ou appartenir à la tendance de Mme Fifi Masuka (Selon leurs propres dires, Ndlr), tentent de faire croire au président « Tshisekedi » que le gouverneur Richard MUYEJ n’est pas dans sa vision. N’importe quoi. Comment être à l’opposé de la vision du chef de l’Etat lorsqu’on organise des itinérances pour être proche du peuple ? Ou lorsqu’on répond aux besoins de la population suivant le plan quinquennal adopté par les élus provinciaux ? Quand on construit des gigantesques immeubles qui n’ont jamais existés dans cette partie du Congo, parmi lesquels se trouve une suite réservée au président de la République et qui n’existe nulle part dans ce pays. C’est ça être contre le chef de l’Etat ? Quand le buste, le portait et les tableaux à l’image du chef de l’Etat sont magistralement placés en des lieux stratégiques plus que même dans son espace linguistique, c’est vraiment aller à l’encontre de la vision du chef de l’Etat ? Ça s’appelle tout simplement : ivresse du lait.
Par défaillance de mémoire, on oublie vite que la lecture de la motion des gouverneurs au nom du l’union sacrée a été faite par Richard MUYEJ devant le Président de la République. C’était dans un français impeccable et facile à comprendre.
L’autre quidam dont des nombreux lualabais ont la répugnance de citer même son nom, venu de son Luiza natal a craché sur l’hospitalité lualabaise. Son mentor, ou mieux son instigateur lui a donné la chance de déambuler les artères chaudes de Kinshasa, d’être logé et se nourrir pro deo. Il multiplie des vidéos qui accusent les insuffisances d’adaptation et la paranoïa. La question est celle de savoir jusqu’à quand ira cette aventure mesquine, quand bien même on sait que l’instigateur arrivera surement à arrêter le financement ? On sent au fil des jours, la carence d’arguments accusateurs dans le chef des apparatchiks du ‘’nouveau régime’’ au Lualaba, déclarent-ils à qui veut les entendre.
A présent, alors que presque 4 mois, Richard Muyej n’est pas en province, une certaine opinion estime que rien n’avance au rythme voulu selon le chronogramme du plan quinquennal. On assiste d’une manière surprenante à une sorte de chasse à l’homme qui fait assez des victimes collatérales. John NTOKA l’assistant du vice-gouverneur du Lualaba, n’en cache pas son outrecuidance dans ses actes et propos. Après avoir manqué des égards au directeur de cabinet du gouverneur, le Pr Joseph YAV, celui-là même qui avait défendu Fifi Masuka lors du procès contre le Sénateur Musendu Flungu, John NTOKA a déjà des accrochages avec le directeur de cabinet adjoint, Yannick Tshisola, renseigne-t-on. Voilà qu’il vient d’avoir encore une prise de bec avec Guy KILAMBWE, le chef du protocole d’état. D’aucuns se demandent si l’autorité qui l’emploi ne sait pas voir cette anarchie qui s’installe et qui empoisonne le climat du travail.
Affichant un visage qui accuse l’état d’ébriété permanente, il fait une déclaration à l’emporte-pièce qualifiant le gouverneur et son directeur de cabinet d’incompétents. Quel toupet ! Dans une émission qui passait en boucle sur Télé 50, il déclare : « Nous avons suspendu un directeur de cabinet qui a fait la honte des juristes (…) Nous allons en suspendre encore d’autres. Ceux – là qui vont se monter sérieux, seront associés à la gestion ».
On sent un homme imbu et rassuré on ne sait de quoi ? C’est un Lualaba en ébullition où des opportunistes rangés contre tout ce qui sent Richard Muyej par la volonté machiavélique d’une ambition démesurée. Certes, le retour du maestro pourra causer un éboulement. C’est la raison de toute cette campagne d’intox.
Dans nos prochaines livraisons, nous revenons sur le portrait de l’homme, ses origines et autres tares selon plusieurs témoignages parvenus à Le Fédéral.
Betunga Nkeka
